Bienvenue sur le wiki de Nuit debout, nous sommes le 2996 mars.




La Charte comme volonté générale/Questions

De NuitDebout
Aller à : navigation, rechercher
Posez ici vos questions en appuyant sur l'onglet Modifier en haut à droite
Qui le veut pourra y répondra
Qui le veut pourra utiliser les Règles générales de rédaction pour les mettre en forme

Qui décide ? Quoi ? Quand ? Comment ?

Réponse par Neimault (discussion) 30 mai 2016 à 20:32 (CEST)

le paragraphe Conséquences de l'Assertion Mouvement démocratique dit :

le principe de souveraineté implique 
chaque membre a un droit égal de participer à toute décision concernant le Mouvement NuitDebout. Quelque soit son lieu de résidence. Quelque soit le moment qu'il choisit pour participer.
Conséquence de la conséquence : la participation aux décisions doit pouvoir être effectuée par le moyen d'internet.

Comment définir et mettre des limites aux responsabilités ?

réponse de Alan Tréard le 30 mai 2016 à 22:48

Je proposerais bien de construire une assertion sur la responsabilité. J'avais écrit un article sur le sujet, mais celui-ci a besoin d'être retravaillé. Définir la responsabilité, puis quelle est son étendue, afin d'en tirer les conséquences nécessaires.

Qui décide de la ligne éditoriale ? comment faire en sorte que ce qui est publier reflète la volonté de tous ?

Quels séparation des pouvoirs ? quels garde fous ? comment décider des administrateurs des outils ?

Réponse par Neimault (discussion) 30 mai 2016 à 21:12 (CEST)

Dans un système démocratique le législatif décide de tout. Le rôle des "magistrats" est défini par la loi. Donc ici la Charte défini les rôles.

comment vote t-on ? consentement ? consensus ? majorité ? 80% ?

Réponse par Neimault (discussion) 30 mai 2016 à 21:12 (CEST)

Le système d'assertions permet d'éviter de voter : on prouve qu'une décision est conforme ou non aux assertions. On ne vote que s'il y a divergence des projets (un projet = un système cohérent d'assertions).

On prouve qu'une modification rend un texte est plus conforme aux Règles et aux assertions : alors elle est conservée, dans le cas contraire elle est rejetée. N'importe qui peu faire cela, à condition que sa preuve soit recevable. En cas de contestation de la preuve on peut utiliser la page de Discussion comme dans Wikipedia. Si un conflit surgit on passe à la procédure ad hoc.

Comment être plus transparent possible sur le mode de fonctionnement de la communication tout en respectant la vie privée ?

Qui décide du mode de fonctionnement de chaque sous groupe ?

Comment sont constitués les différents sous groupe  ?

A quel moment et comment changer les mot de passe des comptes ?

A quelle fréquence faire tourner les participant du secrétariat ?

Comment offrir un système où le modèle ne serait pas contraignant ? (=ne pas être timide/ne pas être détesté)

Réponse par Neimault (discussion) 1 juin 2016 à 11:12 (CEST)

Il me semblait que l'utilisation d'internet résolvait ces problèmes d'affects. En utilisant internet au lieu de la place publique on devient une personne abstraite un pur élément du corps politique. Timide pas timide : aucune importance.

Si Finkielkraut intervient avec un pseudonyme je ne vois pas bien comment on pourrait le détester. On ne pourra qu'accepter ou refuser son intervention en toute objectivité en utilisant les assertions et les Règles, comme pour n'importe qui : il n'y a plus de Finkielkraut, il n'y a qu'une intervention à passer à travers un filtre objectif.

Réponse par Alan Tréard (discussion) 2 juin 2016 à 01:13

J'oppose un argument qui peut éventuellement poser de nouvelles questions avec un cas pratique. Tout ce qui suit est vrai et fréquent. Nous avons sur le chat de nombreux pseudonymes qui ne sont pas identifiés à des noms ou des visages, et cette confusion a provoqué un système dans lequel les responsabilités n'étaient plus identifiées. On bénéficie ainsi du modèle dont tu fais l'apologie. Autrement dit, un modèle autoritaire pouvait se mettre en place, comme dans une secte, sans qu'aucun outil ne permette d'identifier les auteurs (absence de transparence). On a eu de graves problèmes, à cause de ce modèle inhumain, et de nombreux participants on pris peur (climat de peur=risque de dictature). J'accuse la confusion des identités, et la confusion en général de valoriser le totalitarisme ; cependant, je pense qu'il faut chercher un modèle qui n'exclut pas les timides, tout est là.

Comment faire de la charte un outil qui assure la diversité des interventions ?

Réponse par Neimault (discussion) 1 juin 2016 à 11:12 (CEST)

je ne comprends pas le mot diversité. N'importe qui peut intervenir, même Finkielkraut. Par contre si Finkielkraut propose une décision contraire aux règles et assertions de la Charte, sa proposition sera rejetée. C'est la condition pour obtenir la volonté générale sinon, si tout est possible, il n'y a pas de Charte.