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Villes/Bourgoin-Jallieu/2 juin 2016 : Différence entre versions

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(Nuit debout du jeudi 2 juin 1016)
 
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Une nuit debout qui débute sous la pluie, qui nous suivra par intermittence, sans démobiliser les troupes qui tentent de se réunir, devant la médiathèque de Bourgoin-Jallieu, lieu de culture mais laquelle ?
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Une nuit debout qui débute sous la pluie, qui nous suivra par intermittence, sans démobiliser les troupes qui tentent de se réunir. Nous sommes devant la médiathèque de Bourgoin-Jallieu, lieu de culture mais laquelle ?
  
Les conversations de la soirée fusent... l'accès au soins pour tous, plutôt la différence d'accès au soins pour tous. Chacun y va de son couplet avec des anecdotes sur les dépassements d'honoraires, les secteurs privées et publics non scindés dans certains établissements de santé, de la négociation à la petite semaine en fonction des assurances et garanties de celles-ci ; la prise en charge du patient et puis de la désertification des zones rurales et réalité de notre système de santé qui se dégrade bien que conscient que nous en avons encore un, la culture médicale...
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Les conversations de la soirée fusent... l'accès au soins pour tous, plutôt la différence d'accès au soins pour tous. Chacun y va de son couplet avec des anecdotes sur les dépassements d'honoraires, les secteurs privées et publics non scindés dans certains établissements de santé, la négociation à la petite semaine en fonction des assurances et garanties de celles-ci ; la prise en charge du patient et la désertification des zones rurales. Réalités de notre système de santé qui se dégrade bien nous soyons conscient d'en avoir encore un. La culture médicale...
  
Puis une loi qui vient de passer au Sénat sur la suppression des 35h, un passant nous en fait l'annonce, et tiens donc ! la loi sur notre liberté d'assurance celle qui va nous suivre par notre numéro de matricule, pardon d’immatriculation tout au long de notre vie pour notre bien nous serons fliquer avec notre accord dixit le passant...
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Une loi vient de passer au Sénat sur la suppression des 35h, un passant nous en fait l'annonce, et tiens donc ! La loi sur notre liberté d'assurance, celle qui va nous suivre par notre numéro de matricule, pardon d’immatriculation tout au long de notre vie ,pour notre bien nous serons fliqués avec notre accord dixit le passant...
  
Culture du travail et de l'ambition amenée par une jeunesse motivée et sûre d'elle qui prend le temps de nous expliquer son parcours commercial et surtout son changement d'activité car son apprentissage était dans la pâtisserie, il nous dit avoir rebondit et surtout avoir tiré profit de son expérience avec optimisme. Il nous encourager dans une démarche de discussion et d'écoute.
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Culture du travail et de l'ambition amenée par une jeunesse motivée et sûre d'elle qui prend le temps de nous expliquer son parcours commercial et surtout son changement d'activité car son apprentissage était dans la pâtisserie, il nous dit avoir rebondit et surtout avoir tiré profit de son expérience avec optimisme. Il nous encourage dans une démarche de discussion et d'écoute.
  
Une jeunesse lycéenne et cultivée qui fait des liens avec des exemples d'exemplarité aussi des références historiques et géopolitiques en citant Kemi Ceba le défenseur de la Panafrique, « anti sioniste » et journaliste sénégalais bien que béninois d'origine. Dieudonné est cité pour ses propos tranchés. Sa culture, en tous cas les limites de celle-ci, se trouve interrogée et de discussion en discussion il nous livre une ambition de prise de responsabilité au sein de son établissement scolaire et dans un groupe de musique. Une génération  à l'écoute  qui prend le soin avec bienveillance d'observer analyser et étayer en faisant préciser les mots les idées tel que la « métapolitique » et qui apprend aussi ou s'informe sur les sujets d'une jeunesse que l'on pense a la dérive est désintéressée et, au fil d'interpellation d'un petit nombre de personne, se repose la question de quelle communication faire sur les Nuits debout et quelle thématique aborder, surtout comment mobiliser à nouveau de nouvelles personnes.
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Une jeunesse lycéenne et cultivée qui fait des liens avec des exemples aussi des références historiques et géopolitiques en citant Kemi Ceba le défenseur de la Panafrique, « anti sioniste » et journaliste sénégalais bien que béninois d'origine. Dieudonné est cité pour ses propos tranchés. Sa culture, en tous cas les limites de celle-ci, se trouve interrogée et de discussions en discussions il nous livre une ambition de prise de responsabilité au sein de son établissement scolaire et dans un groupe de musique. Une génération  à l'écoute  qui prend le soin avec bienveillance d'observer, analyser et étayer en faisant préciser les mots et les idées tel que la « métapolitique » et qui apprend aussi ou s'informe sur les sujets d'une jeunesse que l'on pense à la dérive mai qui est désintéressée.
  
On continue la semaine prochaine au même endroit pour toujours être repéré c'est acté.
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Au fil d'interpellations d'un petit nombre de personne, se repose la question de quelle communication devons-nous faire sur les Nuits debout, quelle thématique aborder et, surtou,t comment mobiliser de nouvelles personnes.
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On continue la semaine prochaine au même endroit et pour toujours, c'est  être repéré. C'est acté.
  
 
A jeudi 9 juin 2016
 
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Version actuelle en date du 8 juin 2016 à 23:04

Nuit debout du jeudi 2 juin 1016[modifier | modifier le wikicode]

2 juin 2016

Une nuit debout qui débute sous la pluie, qui nous suivra par intermittence, sans démobiliser les troupes qui tentent de se réunir. Nous sommes devant la médiathèque de Bourgoin-Jallieu, lieu de culture mais laquelle ?

Les conversations de la soirée fusent... l'accès au soins pour tous, plutôt la différence d'accès au soins pour tous. Chacun y va de son couplet avec des anecdotes sur les dépassements d'honoraires, les secteurs privées et publics non scindés dans certains établissements de santé, la négociation à la petite semaine en fonction des assurances et garanties de celles-ci ; la prise en charge du patient et la désertification des zones rurales. Réalités de notre système de santé qui se dégrade bien nous soyons conscient d'en avoir encore un. La culture médicale...

Une loi vient de passer au Sénat sur la suppression des 35h, un passant nous en fait l'annonce, et tiens donc ! La loi sur notre liberté d'assurance, celle qui va nous suivre par notre numéro de matricule, pardon d’immatriculation tout au long de notre vie ,pour notre bien nous serons fliqués avec notre accord dixit le passant...

Culture du travail et de l'ambition amenée par une jeunesse motivée et sûre d'elle qui prend le temps de nous expliquer son parcours commercial et surtout son changement d'activité car son apprentissage était dans la pâtisserie, il nous dit avoir rebondit et surtout avoir tiré profit de son expérience avec optimisme. Il nous encourage dans une démarche de discussion et d'écoute.

Une jeunesse lycéenne et cultivée qui fait des liens avec des exemples aussi des références historiques et géopolitiques en citant Kemi Ceba le défenseur de la Panafrique, « anti sioniste » et journaliste sénégalais bien que béninois d'origine. Dieudonné est cité pour ses propos tranchés. Sa culture, en tous cas les limites de celle-ci, se trouve interrogée et de discussions en discussions il nous livre une ambition de prise de responsabilité au sein de son établissement scolaire et dans un groupe de musique. Une génération à l'écoute qui prend le soin avec bienveillance d'observer, analyser et étayer en faisant préciser les mots et les idées tel que la « métapolitique » et qui apprend aussi ou s'informe sur les sujets d'une jeunesse que l'on pense à la dérive mai qui est désintéressée.

Au fil d'interpellations d'un petit nombre de personne, se repose la question de quelle communication devons-nous faire sur les Nuits debout, quelle thématique aborder et, surtou,t comment mobiliser de nouvelles personnes.

On continue la semaine prochaine au même endroit et pour toujours, c'est être repéré. C'est acté.

A jeudi 9 juin 2016