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Modification de Villes/Nice/Potager/CR/47 mars

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Etant donné la malbouffe de masse que nous vendent les lobbies de l'agroalimentaire, et le prix souvent très élevé de la nourriture estampillée "bio", il nous a semblé en lien avec les valeurs des nuits debout (autogestion, partage de compétences...) de proposer à ceux qui le désirent de se fédérer pour créer des jardins partagés. Un jardinier professionnel et une agricultrice étaient dans ce groupe, mais aussi plusieurs jardiniers amateurs assez motivés.
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Etant donné la malbouffe de masse que nous vendent les lobbies de l'agroalimentaire, et le prix souvent très élevé de la nourriture estampillée "bio", il nous a semblé en lien avec les valeurs des nuits debout (autogestion, partage de compétences...) de proposer à ceux qui le désirent de se fédérer pour créer des jardins partagés. Un jardinier professionnel étaient dans ce groupe, mais aussi plusieurs jardiniers du dimanche assez motivés.
  
La question qui s'est posée à été: sur quels terrains s'installer? Trois idées ont émergé:
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La question qui s'est posée à été: sur quels terrains s'installer? Trois idées ont été proposées:
  
Faut-il se réapproprier des terrains communaux un peu isolés et en jachère pour créer ces potagers? Dans ce cas, les fruits du jardin seraient d'abord consommés par ceux qui ont travaillé à les faire grandir, et ceux avec qui ils voudront bien les partager... Mais, il y a tout de même un aspect militant dans ce projet: le fait de s'approprier certains de ces terrains communaux relève d'une démarche certe risquée, mais aussi d'une revendication que la terre nous appartient, qu'elle ne doit pas être réservée à ceux qui ont la chance de pouvoir se payer une maison avec jardin. Une question se pose: à l'heure du "tout, tout de suite", ce genre de projet de longue haleine est-il possible? Plusieurs personnes avaient l'air intéressées, nous avons convenu de nous retrouver le week-end prochain.
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Faut-il se réapproprier des terrains communaux un peu isolés et en jachère pour créer ces potagers? Dans ce cas, les fruits du jardin seraient d'abord consommés par ceux qui ont travaillé à les faire naître, et ceux avec qui ils voudront bien les partager... Mais, il y a un aspect militant dans ce projet. La question s'est posée de savoir si il convenait de demander des autorisations à la mairie pour le faire. Le problème étant que si on demande des autorisations, les réponses tarderont sûrement à arriver. La peur que le mouvement NDB ne se soit tassé d'ici-là s'est manifestée. Le fait de s'approprier certains de ces terrains communaux sans autorisation relève d'une démarche certe risquée, mais aussi d'une revendication que la terre nous appartient, qu'elle ne doit pas être réservée à ceux qui ont la chance de pouvoir se payer une maison avec jardin. Une question se pose: à l'heure du "tout, tout de suite", ce genre de projet de changement sociétal de longue haleine est-il possible? Plusieurs personnes avaient l'air intéressées, nous avons convenu de nous retrouver le week-end prochain.
  
 
Faut-il sensibiliser des particuliers qui pourraient prêter leurs jardins? On ne sait jamais, nous en avons fait la demande auprès de l'agora, mais aucun retour ne nous a été donné à ce jour. Même si elle va dans le sens du partage, il nous semble que cette idée pourrait avoir moins de sens (on ne se réapproprie pas un terrain abandonné, on cherche juste à mutualiser les possessions des uns et les énergies des autres, ce qui est déjà pas mal, me direz-vous). L'avantage de cette idée est qu'elle comporte aussi moins de risques. Elle va plutôt dans le sens de "préparer une transition en douceur, sans faire de vagues", que dans celui de faire de grandes actions revendicatives. Ce qui n'est pas le cas de la dernière idée:
 
Faut-il sensibiliser des particuliers qui pourraient prêter leurs jardins? On ne sait jamais, nous en avons fait la demande auprès de l'agora, mais aucun retour ne nous a été donné à ce jour. Même si elle va dans le sens du partage, il nous semble que cette idée pourrait avoir moins de sens (on ne se réapproprie pas un terrain abandonné, on cherche juste à mutualiser les possessions des uns et les énergies des autres, ce qui est déjà pas mal, me direz-vous). L'avantage de cette idée est qu'elle comporte aussi moins de risques. Elle va plutôt dans le sens de "préparer une transition en douceur, sans faire de vagues", que dans celui de faire de grandes actions revendicatives. Ce qui n'est pas le cas de la dernière idée:

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