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Villes/Paris/Cahiers de doléances et d'exigences/Doléances/Doléances du 41 mars (10 avril 2016)

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Doléances du 41 mars (10 avril 2016)[modifier | modifier le wikicode]


1 – Que les patrons ne soient pas payés trois fois plus que le salaire le moins élevé d’un employé de leur entreprise.


2 – « Sauvons notre Terre mère » Actions/réactions : Urgent.

Ne les laissons plus en poste. Que la lumière inonde le cœur de chacun.
Espoir je t’attends « Mon Amour »
10.000 suicidés « Plus Espoir » de la vie.
100.000 PME/PMI depuis 2008.


3 – Ils nous prennent vraiment pour des cons !!!


4 – Pour un vivre ensemble et la transmission intergénérationnelle : lieux de vie mixte séniors/jeunes (nourrissons, enfants, ados). Stopper les maisons de retraite, véritables apartheid/mouroir où la dignité humaine est enfermée à l’extérieur.


5 – Pour une transition en plusieurs étapes, un premier serait de remplacer le Conseil Constitutionnel par un tirage au sort, et le fameux « Conseil des Sages » deviendrait réellement sage.


6 – Pour que la protection de toutes les ressources de la planète soit prise en compte en priorité dans toutes les décisions à prendre dans le futur.


7 – L’Union des tous – de toutes les idées.


8 – J’aime trouver sur la Place aujourd’hui cette vie effervescente, incarnée en particulier par la présence des végétaux et du compost source de vie. Je sens un mouvement profond de vie se structurer et auquel il nous faut bien veiller.


9 – L’amour est quelque chose qui se partage, nous pouvons le donner mais nous ne pouvons pas obliger les autres à nous le rendre. La nuit debout est d’abord un partage où chacun à quelque chose à donner. La seule chose est de ne pas abandonner.


10 – Dépénalisation de l’usage des drogues de manière à lutter contre le trafic et afin de favoriser la prévention dès le collège. Travail de fond sur la manière dont on présente les drogues, la pénalisation du consommateur l’empêche de parler.


11 – Taxes/ Récupérer l’argent qui ne bénéficie pas à l’Etat du fait de l’évasion fiscale.


12 – Mettre fin aux traités sur le TAFTA (TTIP) dans le respect des nombreux territoires (villes, départements, régions) qui se sont décrétés « Hors TAFTA ».


13 – Limiter les « revenus » des élus lorsqu’ils sont disproportionnés par rapport au revenu moyen.


14 – Non au cumul des mandats.


15 – Destituer les parlementaires/sénateurs s’ils ne sont pas présents lors du vote d’une loi.


16 – Transparence sur les députés/sénateurs absents lors des votes de loi.


17 – Accueillir les réfugiés.


18 – Droit de vote pour les étrangers.


19 – Taxer les produits non locaux (A minima hors UE) pour favoriser l’alimentation locale.


20 – Taxer les produits non biologiques.


21 – Voter une loi fiscale efficace (Rappel de loi décembre 2015)


22 – Système parlementaire.


23 – Elections mixtes avec degré élection intermédiaire.


24 – Suppression ou réforme de l’ENA. (Fin de la suprématie de l’ENA)


25 – Recrutement haut fonctionnaires dans la société civile.


26 – Décentralisation accentué. Avoir un système fédéral.


27 – Pour l’école de demain : arrêter de transformer les établissements scolaires en prisons qui cassent les rêves, les aspirations des élèves. De la maternelle à la terminale ils sont environs 40h par semaines le cul sur des chaises à écouter des gens parler. Ils sont 35 par classe et sont notés en permanence, évalués, triés de façon à reproduire l’élitisme en vigueur. Donc proposons des activités créatives et enrichissantes pour nos enfants inspirées par exemple de la méthode Montessori :

  • Yoga, méditation
  • Dessin, arts plastiques
  • Danse
  • Cuisine
  • Bricolage, recyclage

Proposons des projets pour l’Ecole en lien avec la vie sociale : avec des personnes âgées, des personnes en situation de handicap, des immigrés. Créons ensemble théâtre, photos, contes, textes.

Projets verts dans les écoles. « Moutons in the béton ». Ces projets existent déjà à Montreuil, à Pantin, aux Lilas. Il faut les répandre. Ça marche vraiment.

A travers les enfants, les ados, on peut créer un monde nouveau. Au lieu de les brimer, inspirons nous de leur énergie.


«  Se souvenir de l’avenir » Cocteau.


28 – Contre une santé mentale, mais pour une préoccupation pour la souffrance psychique inscrite dans la Constitution.


29 – Accorder plus de place aux femmes écrivains dans les programmes de Français.


30 – Pour une pénalisation des délits proportionnelle au rang social et responsabilités.


31 – Tous les êtres humains étant égaux, balayons toutes les discriminations sexistes, sociales, racistes,… pourrait être établies en abolissant toute hiérarchie dans tous les domaines (pol, économiques, politiques).

L’abolition de la hiérarchie implique la mise en place d’une autogestion nécessaire en fonction de la volonté et la possibilité d’investissement.


32 – Se nourrir, se loger, doivent être reconnus comme des droits fondamentaux et doivent être gratuits pour tous, et impliquent une réorganisation totale de notre système.


33 – Etablir des organismes de contrôle de toutes les sociétés financières.


34 – Faire que les députés européens entendent les pétitions des citoyens européens et que leurs votes soient nécessaires/aient pouvoir de blocage des lois, traités anti citoyens (exemple TAFTA).


35 – Article 1 de la Constitution : Le peuple (Ensemble des citoyens) exerce pleinement sa souveraineté en la déléguant aux représentants qu’il a désigné. Lorsque les circonstances l’exigent, il exerce directement sa souveraineté dans un temps et avec les moyens qu’il définit lui-même.


36 – Il me semble que le référendum d’initiative populaire est un outil vital au bon fonctionnement d’une démocratie.


37 – Transparence de l’impôt. Tant au niveau de la somme récoltée qu’au niveau de la répartition de cet argent. (Nous pouvons imaginer une feuille reçue avec nos impôts indiquant la proportion redistribuée vers l’éducation, la culture…)


38 – Création de notre monnaie et retrouver notre démocratie en sortant de l’Union Européenne par l’article 50. Voir conférence sur le site UPR.fr (Union Populaire Républicaine).


39 – Que les professeurs aient un salaire digne de ce nom ! Y en a assez de vivre comme des étudiants… après des années d’études et même après des années de travail…


40 – Le programme du candidat élu (des candidats ? si on n’élit plus un président mais une équipe ?) doit être contractuel. Un changement d’orientation sur un élément structurant doit être soumis à référendum.


41 – Le non-cumul des mandats dans le temps doit être accompagné de moyens supplémentaires pour les élus de se former rapidement, et pour les formations citoyennes et politiques qui existent en veulent participer au débat politique.

Une réorganisation du travail avec réduction du temps de travail et valorisation de toutes les activités utiles à la société (bénévolat, éducation, soins à une personne malade, handicapée ou dans le besoin) pour permettre aux élus d’avoir de bonne condition d’exercice de leur mandat tout en gardant une autre activité en lien avec le quotidien des gens.


42 – Je souhaite que François Hollande démissionne. Qu’il organise son départ en faisant en sorte que soient tenues partout à travers la France des assemblées constituantes pour la tenue d’une nouvelle république. Que le peuple jouisse de toute l’infrastructure nécessaire à concevoir la société autrement. Se serait un bon début pour avoir plus que la seule « Place de la République »


43 – VIème République

Préambule :

« Les hommes naissent libres et égaux en droit et en devoir. Chaque individu, dans la nouvelle république française, à le droit de vivre dans des conditions décentes, qui comprennent logement, toit et à un revenu minimum qui lui permet … d’avoir accès à ma santé gratuite, à l’éducation gratuite (même à l’université), à une culture qui le dote d’un esprit critique qui lui permette d’exercer ses droits de citoyens. »

Art 1 – La propriété privée est abolie.

Art 2 – La concurrence est hors la loi

Art 3 – La préservation de l’environnement est une obligation, quiconque ne pourra dégrader l’environnement, ni aucun protester.

Art 4 – La démocratie représentative ayant échouée, seule la démocratie directe est légitime en République. Des conseils citoyens assumeront la confection de la loi, de représentants citoyens tirés au sort et jouissant d’un mandat impératif.

Art 5 – Aucune loi ne pourra porter atteinte à la sécurité sociale, économique et politique des citoyens, en conformité avec le préambule.


44 – Pour l’ouverture des frontières aux êtres humains.


45 – Que la police puisse se joindre au mouvement populaire


46 – Pour une démocratie humaine, pour un renouveau des mentalités, pour un engagement citoyen uni.

L’appel à la violence est inutile, encore moins face aux forces de l’ordre.

Les français ont la mémoire courte. Tirons des leçons de notre histoire. Une vraie remise en question semble aujourd’hui nécessaire.


47 – Je souhaite un renouveau d’une classe politique installée dans son confort depuis trop longtemps.


48 – Je souhaite que tout le monde se retrouve pour s’aimer comme il se doit. N’est-ce pas le but profond de tous ? L’amour n’est-il pas notre dénominateur commun ?


49 - POUR L’ABOLITION DES « CARRIÈRES POLITIQUES ».

Je souhaiterais une VIe République où une loi, qui changerait tout, serait mise en place: l’interdiction d’être réélu, pour n’importe quel mandat que ce soit, du petit conseiller municipal au président de la République.

En effet, nous constatons tous que nos homme politiques rendent des comptes à ceux qui ont financé leur campagne et non à leurs électeurs, et qu’ils agissent dans le seul but d’être réélu et non pas pour le bien de la société. Je ne leur en veux pas, c’est humain. Quand on a des privilèges, on veut les garder, nous ferions la même chose.

La solution est donc de supprimer cette envie irréductible de la réélection. Plus de carrière de politiciens. Chaque citoyen, travaillant dans une branche, peut à un moment de sa vie décider de consacrer un an, deux ans, cinq ans (à définir en fonction des postes évidemment), à mettre en place une de ses idées, et retournerait ensuite à son travail. Il faudrait bien sûr encadrer cela (des garanties quant à retrouver son travail après son mandat, un salaire correct mais pas exorbitant, des conseillers en communication, en « stratégie »…).

Le système en serait profondément changé, le mot « démocratie » et « citoyen » retrouveraient tout leurs sens, tout cela en une loi simple et efficace.


50 - POUR L’ENVIRONNEMENT :

Si nous voulons détruire moins l’environnement, nous pouvons peut-être tenter d’aimer la nature : il est plus facile de se contraindre parce qu’on AIME plutôt que seulement pour éviter des problèmes. (Exemple : nous vient-il à l’idée de ne pas faire attention lorsque nous reculons une voiture alors que nous savons nos jeunes enfants dans les parages ? Si nous aimons l’eau par exemple : allons-nous jeter n’importe quoi en son sein -dans les rivières, fleuves, lacs, mers, …-) ?

La nature, c’est là où nous sommes nés (étymologiquement). Pour fusionner au mieux avec elle, nous pourrions nous permettre de vivre nus davantage. Pourquoi pas des journées de la nudité où chacun pourrait sortir nu dans les espaces naturels au moins, en toute sécurité et en toute pureté ? ATTENTION : il ne s’agit pas de lascivité, mais de naturisme (retrouver nos racines, là où nous sommes nés).

L’eau, c’est la vie ; elle doit être accessible à tous.

Interdire toute possession privée des terres sur quelques centaines de mètres le long des bords d’eau : rivières, fleuves, lacs, côtes maritimes, …


GRANDS PROJETS POUR PETITES MANDATURES

Les projets pour sauvegarder l’environnement ont souvent besoin d’être conduits sur le long terme. Or une mandature dure 5 ans en général et de plus, il n’est pas souhaitable qu’une même personne assure le pouvoir pendant longtemps (pas plus de 10 ans selon moi).

Que faire pour que les policienn(e)s élu(e)s puissent mettre en œuvre des projets sur 10 ans (et plus) si besoin, sans avoir à se soucier de leur réélection aux prochaines échéances électorales (car la pression de la prochaine éventuelle ‘sanction’ électorale peut obérer un engagement sur le long terme pour les projets d’envergure et de longue haleine –et souvent contraignants pour nous tous lorsqu’il s’agit d’environnement-) ? Je propose que les projets cruciaux pour l’environnement, qui porteraient le nom de ‘supra’, soient élaborés et décidés en commun (tous partis confondus) afin qu’ils durent autant que de besoin, quels que soient les alternances de pouvoirs.


POUR LE DEPLOIEMENT DE L’ENERGIE A L’EDUCATION NATINALE ET DANS LES HOPITAUX

La hiérarchie au sein de l’école et des hôpitaux est souvent grès stérile.

Ces lieux n’ont pas forcément besoin de plus d’argent en premier lieu, mais d’une plus grande mise en valeur des richesses humaines grâce à une culture hiérarchique mieux adaptée.

Dans les hôpitaux : moins de vexations, une meilleure prise en compte du vécu et des idées et aspirations de tous. Par exemple, savoir confier à un(e) subalterne la direction d’un projet si sa fonction et sa compétence s’y prête (ce subalterne serait alors le chef de son chef pour ce projet spécifique …) ; ou bien savoir prendre en compte les expériences des ‘petits’ (rééducateurs/trices, infirmier/ières, aide-soignants/tes) lors des rencontres où les ‘professeurs en médecine’ exposent les fruits de leurs recherches et réflexions …

A l’école : Que les inspections des professeurs soient davantage des aides, plutôt que des contrôles / sanctions. Que les ‘experts’ du Ministère de l’Education Nationale s’attachent à relayer les fruits des expériences fructueuses du terrain, davantage qu’à asséner des dogmes sur l’éducation et la manière d’enseigner la lecture par exemple.

Que les collégiens notamment ne soient plus humiliés, comme cela arrive, lors des conseils de classe …


LES ENSEIGNEMENTS PRIVES ET PUBLICS

Dans un pays, une chose très précieuse est l’éducation. J’ai l’impression qu’une des richesses de notre culture (française) est la capacité à développer l’esprit critique.

Avec l’accroissement de l’enseignement privé, je vois se creuser une fissure entre les enfants de classes différentes. Tous en souffrent et cela développe les préjugés de part et d’autre, cela limite l’opportunité pour chacun de se remettre en cause et de s’enrichir au contact de l’autre … Cela réduit la nécessité d’échanger et de se confronter à l’autre (d’aiguiser l’esprit critique et d’accueillir l’autre).

Du coup, l’enseignement public accueille des enfants plus ‘difficiles’ en plus grand nombre proportionnellement ; il développe d’ailleurs des compétences particulières, et il déploie d’autant plus d’énergie qu’il n’est plus soutenu par les familles plus fortes socialement, plus solides, plus sereines, du fait qu’elles ont justement déserté le service public …

Et n’est-ce pas étonnant que les classes préparatoires qui préparent aux grandes écoles (établissement privés ou pseudo-privé pour la plupart) soient financées par l’effort public ? Un très petit nombre d’élèves y bénéficient d’un enseignement à forts moyens (peu d’élèves par promotions, suivi réguliers -des khôlles chaque semaine-, des professeurs impliqués et étayants …) pendant que les reste des étudiants se trouvent souvent dans des bâtiments peu tristes et détériorés, dans des promotions d’au moins 100 personnes, avec seulement des cours magistraux (sans échange avec les professeurs) et deux examens par an où l’on voit qui n’a pas lâché prise en cours de route … (Je connais par expérience personnel, en tant qu’élève, les deux types d’enseignement …)

Pourquoi ne pas supprimer l’enseignement privé, et que tous, nous déployions ensemble nos efforts pour construire une école plus épanouie et plus épanouissante (la France est un des pays d’Europe où les enseignants sont les plus mal rémunérés et les plus mal reconnus pour leur travail, et où les enfants ont le moins envie d’aller à l’école le matin) ?


L’ETAT D’ESPRIT DANS L’ENSEIGNEMENT

Pour améliorer la nature de notre enseignement, il n’est pas nécessaire en premier lieu, selon moi, d’injecter plus d’argent dans le système. Mais nous devons nous remettre en question et changer notre culture scolaire qui date du XIXième siècle (poids trop lourd et invalidant de la hiérarchie ; perte de sens).

J’apporte ici le témoignage de deux jeunes personnes qui ont toutes les deux étudié dans l’enseignement supérieur en France et à l’étranger.

Le premier, un jeune homme, qui était parti au Canada, est revenu en disant : « Au Canada, on t’aide, en France on te sanctionne ».

La deuxième, une jeune femme, qui a étudié aux Pays-Bas, indique : «  Aux Pays-Bas, les professeurs s’attachent à transmettre un enseignement à tous et il y est bienvenu de poser des questions ; en France, les professeurs s’adressent principalement à ceux qui savent et qui comprennent et je me suis entendu répondre avec mépris ‘mais vous ne savez pas ça ?!’ lorsque je posai une question … Or il me semble que le rôle de l’enseignant est justement de répondre aux questions pour faire en sorte que je sache ‘ça’ … »

J’ai aussi entendu, à la télévision il y a un an ou deux, des universitaires, responsables d’un master n’offrant aucun débouchés (environ 80% des diplômés avaient des ‘petits boulots’ six mois après la fin de leurs études), ne montrer aucune préoccupation quant à cette situation, c’est-à-dire quant à l’efficacité de leur travail. Pour eux, ils avaient conduit le groupe à un certain niveau de connaissance, mais il n’était pas de leur ressort de faire en sorte que l’énergie dépensée par eux et par les élèves aboutisse à des métiers effectifs et utiles …

Pour ce type de dysfonctionnement grave, la réponse n’est pas d’apporter plus d’argent.

Par contre, il nous faut écouter les gens de terrain et trouver ensemble comment changer, pour enseigner mieux et avec plus de bonheur pour tous et de réussite pour le pays.

Finalement, peut-être qu’il faut supprimer les grandes écoles et autres officines privées d’enseignement supérieur, pour que les exigences de bon sens et d’efficacité pèsent plus naturellement sur la culture universitaire, par le simple effet de la présence des étudiants socialement bien lotis (donc bien assis dans la société qu’ils s’approprient très vite et très naturellement depuis des générations parfois), et qui donc ont les atouts financiers, et surtout sociaux, d’exiger les moyens de leur ambition légitime.


51 – La doléance pour la France c’est de la merde.

Je veux que nos enfants aient un monde meilleur. Pas une politique de merde.

La gauche, la droite, le FN, même pas la peine.

(...)

Le gouvernement doit relever la tête.


52 – Demande simple: ne pas être une génération sacrifiée, nous aussi nous avons des rêves, pensez y... Donnez nous des emplois, des moyens, une sécurité, de quoi penser une vie dans son ensemble !