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Modification de Villes/Paris/Cahiers de doléances et d'exigences/Doléances/Doléances du 57 mars (26 avril 2016)

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1 – Salut à toutes et tous des Commissions Sérénité, Droit et Cahiers de Doléances et d'Exigences,
 
1 – Salut à toutes et tous des Commissions Sérénité, Droit et Cahiers de Doléances et d'Exigences,
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Il m'est venue une idée toute à l'heure. Considérant les agressions de nos copains et copines de la Nuit Debout, par les gardiens et gardiennes de la paix en armure (ou en civil), que diriez-vous d'entrer en contact avec eux, pour leur dire en gros que leur métier n'a rien de dérangeant en soi, mais qu'ils et elles s'attirent beaucoup de haine par la faute de celles et ceux d'entre eux qui se font un plaisir de casser du "gaucho". Manque de bol, l'uniforme force l'amalgame entre le bon grain et l'ivraie. Il se trouve que j'ai pu discuter dernièrement avec une commissaire qui semblait aux commandes et dont l'amabilité m'a saisi en comparaison de ses subordonnés qui sont fermés comme des huitres et d'une violence trop souvent prodigieuse. Peut-être vos commissions respectives pourraient-elles s'associer pour tenter d'ouvrir la discussion avec les syndicats de police, pour les confronter à la violence des leurs. Ce sera peut-être vain, étant donnée leur grande solidarité, mais ça ne mange pas de pain. Et même une fin de non-recevoir donnerait au moins la couleur...
 
Il m'est venue une idée toute à l'heure. Considérant les agressions de nos copains et copines de la Nuit Debout, par les gardiens et gardiennes de la paix en armure (ou en civil), que diriez-vous d'entrer en contact avec eux, pour leur dire en gros que leur métier n'a rien de dérangeant en soi, mais qu'ils et elles s'attirent beaucoup de haine par la faute de celles et ceux d'entre eux qui se font un plaisir de casser du "gaucho". Manque de bol, l'uniforme force l'amalgame entre le bon grain et l'ivraie. Il se trouve que j'ai pu discuter dernièrement avec une commissaire qui semblait aux commandes et dont l'amabilité m'a saisi en comparaison de ses subordonnés qui sont fermés comme des huitres et d'une violence trop souvent prodigieuse. Peut-être vos commissions respectives pourraient-elles s'associer pour tenter d'ouvrir la discussion avec les syndicats de police, pour les confronter à la violence des leurs. Ce sera peut-être vain, étant donnée leur grande solidarité, mais ça ne mange pas de pain. Et même une fin de non-recevoir donnerait au moins la couleur...

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