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Villes/Toulouse/Antispécisme/CR/Jeudi 21 Avril : Différence entre versions

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Compte rendu
 
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== Résumé de la commission (par Romain) ==
 
== Résumé de la commission (par Romain) ==
Jeudi soir malgré le temps pluvieux nous étions 6 a participer à la commission Antispéciste.
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Jeudi soir malgré le temps pluvieux nous étions 6 à participer à la commission Antispéciste.
  
 
Voici les thèmes qui ont été abordés durant la discussion :
 
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* "montrer que l'on a pas besoin de la viande"
 
* "montrer que l'on a pas besoin de la viande"
  
Enfin nous avons pu différencier 2 conceptions du militantisme antispéciste.
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Enfin nous avons pu différencier 2 conceptions du militantisme antispéciste. Pour certains elles ne sont pas compatibles pour d'autres elles sont complémentaires.
# L'approche pragmatique et réaliste qui se veut efficace, chaque animal qui ne se fait pas tuer
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#L'approche pragmatique et réaliste qui se veut efficace, chaque animal sauvé est une victoire, si l'on peut faire arrêter la consommation de viande à une personne, il faut le faire quel que soit le moyen, le discours ou le motif (droits des animaux, mais aussi réchauffement climatique, pollution, santé humaine et lutte contre les multinationales de l'industrie de la viande qui menacent la démocratie, comme le montre le film Cowspiracy).  Il y a deux bénéfices à cette stratégie :  a) tout animal sauvé est une petite victoire bonne à prendre  b) en faisant changer leurs habitudes à des gens, on fait progresser l'idée que vivre sans exploiter les animaux est possible, et on prépare le terrain pour des changements plus radicaux. En s'interdisant ces petites avancées parce qu'on refuse d'utiliser tous les arguments qui peuvent être efficaces (donc par purisme), on nuit y compris à la cause des droits des animaux.
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# L'approche Idéaliste et utopiste qui l'acquisition de droits aux personnes non humaines.

Version actuelle en date du 24 avril 2016 à 01:18

Compte rendu jeudi 21 avril

Résumé de la commission (par Romain)[modifier | modifier le wikicode]

Jeudi soir malgré le temps pluvieux nous étions 6 à participer à la commission Antispéciste.

Voici les thèmes qui ont été abordés durant la discussion :

  • "proposer un discours démontrant les liens étroits entre la lutte anticapitaliste et antispéciste"
  • "l'empathie est un curseur réglable qui a été rabaissé au plus bas à cause de notre culture par delà la logique"
  • "il faut encourager les bons comportements comme l'alimentation végétalienne, avec la promotion de repas"
  • "nous devons nous débarrasser du lexique spéciste et ne plus dire "viande" mais "personne assassinée"
  • "dénoncer la vivisection et les expérimentations, c'est inutile, il n'y pas 2 espèce qui se ressemble, une espèce n'est pas un modèle pour une autre"
  • "on ne fait pas progresser l'empathie avec un discours agressif"
  • "dénoncer les multinationales : monsanto, lactalis, nestlé, ...
  • "proposer un discours centré sur : l'animal est une personne. Associer toutes les ressemblances avec l'humain
  • "montrer que l'on a pas besoin de la viande"

Enfin nous avons pu différencier 2 conceptions du militantisme antispéciste. Pour certains elles ne sont pas compatibles pour d'autres elles sont complémentaires.

  1. L'approche pragmatique et réaliste qui se veut efficace, chaque animal sauvé est une victoire, si l'on peut faire arrêter la consommation de viande à une personne, il faut le faire quel que soit le moyen, le discours ou le motif (droits des animaux, mais aussi réchauffement climatique, pollution, santé humaine et lutte contre les multinationales de l'industrie de la viande qui menacent la démocratie, comme le montre le film Cowspiracy). Il y a deux bénéfices à cette stratégie : a) tout animal sauvé est une petite victoire bonne à prendre b) en faisant changer leurs habitudes à des gens, on fait progresser l'idée que vivre sans exploiter les animaux est possible, et on prépare le terrain pour des changements plus radicaux. En s'interdisant ces petites avancées parce qu'on refuse d'utiliser tous les arguments qui peuvent être efficaces (donc par purisme), on nuit y compris à la cause des droits des animaux.
  2. L'approche Idéaliste et utopiste qui l'acquisition de droits aux personnes non humaines.