Villes/Cazères/Commission autonomie

COMMISSION POUR L'AUTONOMIE Le vendredi 22/04/2016 à Cazères

Après un constat certain de l'effondrement du système et surtout par notre dépendance au système, notre commission a pour Objectifs : ⦁ créer de l'entre aide afin de vivre dans l'autonomie à travers des échanges de savoirs faire, des échanges de biens non utilisés et qui pourraient servir à d'autres, des échanges en tout genre ... - création de jardins, - échanges de graines, - utiliser les espaces publics pour planter des légumes, - couper du bois, - aider les personnes âgées, handicapées qui ne peuvent plus travailler leurs jardins, en échanges de légumes, - créer des logements sociaux par les personnes elles-mêmes...,

Moyens : - contacter la nouvelle communauté de communes pour obtenir des terrains (Une personne du groupe s'est proposée de les rencontrer pour voir ce qui pourraient nous offrir...), - semer sur les ronds points, - créer une liste de besoins locaux afin d'être actif localement sur ce qui nous est possible de faire déjà entre nous !!

Les échanges après avec le public nuit debout : Il a été exprimé que des jardins sont déjà en action au Fousseret et à Cazères avec : ⦁ Les jardins de l'entente au Fousseret, ⦁ Les jardins partagés à Cazères éthique. ⦁ Echanges de graines pour vendredi prochains à nuit debout. ⦁ Il a été proposé de regarder un journal associatif qui se consulte sur internet et qui s'appelle "l'âge de faire" un mensuel de 24 pages où l'on peut s'abonner et aussi consultable sur le net à l'adresse suivante : http://www.lagedefaire-lejournal.fr/. Qui sont-ils ? : L’âge de faire témoigne des expériences alternatives en matière de réappropriation de l’économie, de création de lien social, d’écologie et d’engagement citoyen. Son credo : offrir à ses lecteurs des outils qui leur permettront de mettre en œuvre leurs idées. Il tire à 30 000 exemplaires, est distribué au niveau national et compte près de 12 000 abonnés. Diffusion : L’âge de faire ne dépend que de ses lecteurs ! Son indépendance financière (ni subventions, ni publicité) repose sur un mode de diffusion original.Depuis son lancement, des particuliers, magasins, associations… achètent chaque mois un certain nombre d’exemplaires, qu’ils revendent parmi leurs connaissances, déposent dans un commerce ou un lieu public. Il est aussi vendu sur les foires et salons par un réseau de sympathisants. C’est grâce à ces soutiens que L’âge de faire s’est fait connaitre et a fidélisé ses lecteurs. Nous cherchons aujourd’hui à organiser et consolider ce réseau de distribution, en couvrant le territoire de façon plus homogène. Une entreprise coopérative : Fondé en 2005 par l’association L’âge de faire, le journal a été repris en septembre 2011 par une Sarl Scop (Société coopérative de production). Les sept salariés détiennent la majorité des voix et du capital au sein de l’entreprise. Ils décident ensemble du contenu et de la gestion du journal.